#134 Jenny Chammas - Toutes les clés pour atteindre ses objectifs en 2020! (Coach et créatrice du podcast Femme et Ambitieuse)
😇 Mon sponsor du mois Revolut Business – La banque que vous méritez pour gérer vos finances professionnelles ➡ Découvrir Revolut Business Abonnez vous à ma Newsletter ➡ Newsletter TheBoldWay ___________________________________ Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Jenny Chammas, elle est coach, créatrice du podcast Femmes et Ambitieuses et l’auteure du livre Ambitieuse et épanouie. Dans cet épisode, elle nous parle de sa façon de planifier ses objectifs, de trouver l’équilibre entre ambition et réalité, de se projeter dans l’inconnu, de l’importance de la confiance de soi, de savoir dire non et de ses impacts positifs, et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Jenny, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE 02:25 Jenny se présente et nous explique comment fixer ses objectifs de façon réaliste.12:02 Comment se projeter ou se donner des objectifs dans l’inconnu.25:00 Comment apprendre à voir le verre à moitié plein.32:00 Quelques conseils pour s’organiser et gagner du temps, comment dire non et de la bonne façon, ses impactes, et la gestion de sa boîte mail.47:25 Comment agir massivement, comment bien s’entourer.58:15 Comment organiser un mastermind, quelques conseils pour progresser.KEYLEARNINGSJe planifie à l’avance des moments pendant lesquels je ne fais rien d’autre que de réfléchir à ce que j’ai envie de vivre, de créer, là où j’ai envie d’emmener ma boîte, ma vie aussi. De façon très concrète, je fais ça 4 fois par an. A ce moment-là, je réfléchis à tout ce que j’ai envie de faire, et puis ensuite, je décide de ce qui est le plus important.C’est compliqué de changer plusieurs habitudes en même temps. Ma technique est de choisir et de décider d’un objectif prioritaire pour l’année et de le décliner, de travailler là-dessus. Une fois que je me sens à l’aise, bien lancée, qu’on est peut-être en mars et que je suis sur les rails, il est temps de penser au deuxième objectif.Il ne faut pas se mettre de barrière, de limite et de filtre. A partir du moment où les idées fuses, le cerveau est un ordinateur qui garde tout ce que tu as vécu toute ta vie et à chaque truc super ambitieux, super nouveau que tu vas lui proposer, il va avoir plein d’arguments à te donner pour te dire « En fait c’est un peu compliqué. En un an, tu ne vas pas y arriver. Tu as déjà fait, ça n’a pas marché etc. ». Pour hacker son cerveau, il faut avoir la capacité de reconnaître ce mécanisme-là, c’est un mécanisme qui montre que ton cerveau fonctionne à merveille. On a une partie dans notre cerveau qui est le cerveau reptilien, qui est là pour nous protéger du danger de façon générale. Cette partie-là du cerveau est la même que celle que les hommes préhistoriques avaient, qui permettait de garder de l’énergie, de ne pas faire trop d’effort pour en cas de grand danger, s’enfuir en courant, et éviter qu’un ours nous dévore. Cette partie du cerveau existe toujours et maintenant quand on lui propose un objectif ambitieux, elle scanne ça comme un danger. Notre job à nous c’est de se dire « ce bruit-là, c’est juste mon cerveau reptilien, c’est juste une réaction naturelle, ça montre que mon cerveau fonctionne bien ».Croire en soi et croire aussi en son projet est fondamental pour réussir. Ce n’est pas la validation extérieure qui va faire qu’on va croire en son projet, c’est vraiment quelque chose qui vient de soi. On le voit très bien, c’est assez fascinant quand on écoute les entrepreneurs, je pense à Ramdane Touhami et Nelly Rodi. Pour moi, ce que ces deux personnes fascinantes ont en commun, c’est la confiance qu’elles ont en elles, et en l’amour de ce qu’elles font, en leurs produits ou services, et ça, ça fait une sacrée différence parce que quand on a confiance, cela donne une énergie immense pour avancer donc ça fait soulever des montagnes mais en plus, ça permet de convaincre les gens. On a besoin de convaincre les gens quand on a une marque donc c’est hyper important.La confiance est une émotion. Une émotion nait toujours d’une pensée. Une pensée c’est ce que l’on se dit à l’intérieur de notre tête. Quand on parle de confiance en soi, c’est tout le discours que l’on a dans notre tête au sujet de nous-même : « je suis comme-ci, je ne suis pas assez comme ça… ». Cette émotion-là de confiance en soi n’est pas égale tous les jours, tous les ans, sur tous les projets, sur tous les sujets. Il n’y a pas de gens qui naissent et qui ont confiance en eux et des gens qui naissent sans confiance en eux. Il y a simplement des gens qui, sur certains sujets, sur certains domaines, ont des pensées qui produisent de la confiance en eux et d’autres personnes qui ont des pensées qui produisent peu de confiance. Quand on entreprend, qu’on crée un nouveau projet, une nouvelle marque, on fait quelque chose de totalement nouveau, on n’a pas vraiment de preuve extérieure à nous qui nous montre qu’on devrait avoir confiance en soi et c’est pour ça, qu’assez naturellement quand tu lances un projet, tu ressens du doute. Pour en créer plus, il y a plusieurs choses qui fonctionnent bien : s’appuyer sur son passé. Même quand on n’a jamais créé de marque de mode, il y a plein de choses qu’on a accompli avant. On peut avoir confiance en soi et pour autant, douter un peu. Une aventure entrepreneuriale, même quand on a confiance en soi, n’exclut pas le doute. Le doute fait partie de l’aventure. Là, ce qu’il faut savoir convoquer c’est le courage : se lancer même quand on a peur. C’est ça qui va créer la confiance à posteriori. Tu te lances une fois quand tu as peur, tu te rends compte que soit ça marche, du coup, ça te donne confiance pour la suite, soit ça ne marche pas mais en fait, tu n’es pas mort, ça a juste été un petit mauvais moment un passé et tu rebondis.C’est un art, une compétence à développer de savoir accueillir l’inconfort, et les émotions inconfortables. Cela s’apprend. Ce n’est pas parce qu’on est super stressé, qu’on ne va plus rien faire ou arriver à rien.Pour respecter ses priorités, on doit faire de soi sa priorité. La première personne à qui il faut faire attention pour pouvoir poursuivre ses projets, ses priorités, que ce soit dans le travail mais aussi dans la vie privée, c’est de faire attention à soi. Il y a une technique que je conseille dans la planification c’est de prévoir le temps de repos avant de remplir son agenda. Et même quand on travaille beaucoup, parce que soyons clair, monter une boîte dans le secteur de la mode, la faire marcher, ça demande beaucoup de boulot, il faut avoir envie de bosser, mais ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas se reposer. Ces moments-là, de mon point de vue, sont les premières choses à mettre dans l’agenda puisque sinon ce sont des moments que l’on ne prend jamais et ce qu’on néglige souvent, c’est que ce sont ces moments-là qui sont probablement les plus prolifiques pour générer des idées qui vont ensuite créer de la valeur dans le business.Il faut être authentique et ne pas essayer d’être quelqu’un que l’on n’est pas, ça simplifie toutes les relations, et cela crée de la confiance et cela permet de mieux travailler ensemble.Si on ne sait pas, on a l’humilité de ne pas savoir et d’apprendre sur le terrain et si on n’y arrive pas, on se fait aider. Créer une marque, cela ne se fait pas seul. On peut commencer seul mais très vite, on va avoir besoin de s’entourer et le résultat de l’entreprise ne repose pas sur les épaules d’un seul homme mais repose sur toute une équipe, qu’elle soit interne ou aussi à l’extérieure. C’est cette mayonnaise qui doit prendre pour pouvoir arriver à un résultat. Pour que cette mayonnaise prenne, il faut que le leader, le créateur, l’entrepreneur puisse emmener ces gens avec lui. S’il ne sait pas faire, s’il n’arrive pas à faire, si ce qu’il essaye au fur et à mesure ne fonctionne pas, il faut se faire aider. La question c’est, est-ce qu’on veut vraiment y arriver ou pas, et si on veut y arriver, il faut savoir leader les gens, il faut avoir déléguer, il faut savoir déléguer une partie du leadership si on estime qu’on n’est pas le meilleur des leaders, ce n’est pas un problème en soi, on peut tout à fait réussir sans l’être. Il faut aussi se sortir de la solitude que l’on peut ressentir parfois à être la personne qui emmène tous ces gens-là. Il y a plein de moyens de ne pas être seul, d’apprendre des autres. Je pense notamment au programme Talent de la Fédération Française du Prêt à Porter. Je pense aussi à des initiatives qui peuvent être tout à fait simple mais qui marchent très bien : c’est créer des groupes mastermind, avoir 4-5 personnes dans son giron qui sont aussi entrepreneur et de se réunir une fois par mois et de partager les réussites, les ennuis, de se demander des conseils, de se soutenir. Il faut se fixer des objectifs, il faut savoir combien on veut faire de chiffre d’affaires, quelle rentabilité on veut avoir, tout ça, on doit le savoir. Il faut avoir un objectif, cela ne veut pas dire qu’on va arriver exactement à cet objectif mais en tout cas, il faut avoir fait ce travail, pas forcément dans le détail, mais en tout cas, ce travail mental.Il faut savoir se vendre quand on ne sait pas se vendre, il faut apprendre à le faire et donc travailler sa confiance en soi. Quand on est entrepreneur, on est son plus grand ascète. Notre cerveau est notre meilleur ascète et il faut savoir investir en lui, il faut apprendre, ce qu’on ne sait pas, on l’apprend. Il faut se faire coacher, il faut médier, faire du sport. Il faut prendre de soi et de son cerveau. REFERENCESPodcast Femmes et Ambitieuses https://www.coachappy.com/podcasts/Ambitieuse et épanouie https://www.coachappy.com/le-livre/Episode William Hauvette – Asphalte https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/number-53-william-hauvette-asphalte-parisEpisode Ramdane Touhami https://podcasts.apple.com/be/podcast/50-ramdane-touhami-officine-universelle-buly/id1300541489?i=1000420876179Episode Nelly Rodi https://podcasts.apple.com/fr/podcast/129-nelly-rodi-nellyrodi-une-vie-au-service-la-mode/id1300541489?i=1000459829976Ryan Holidays - L’obstacle est le chemin https://livre.fnac.com/a11104035/Ryan-Holiday-L-obstacle-est-le-cheminHuman Machine – Jean de La Rochebrochard https://livre.fnac.com/a13987282/Jean-de-La-Rochebrochard-Human-MachineAtomic Habits (Un rien peut tout changer) – James Clear https://livre.fnac.com/a13259231/James-Clear-Un-rien-peut-tout-changer?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla366875966876%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=CjwKCAiAjrXxBRAPEiwAiM3DQhB4e8vBlRuF91Kj89eMSbWaf4tKq2EsPeb3tAq2IHr6W43iOvDJGxoC6dwQAvD_BwE&gclsrc=aw.dsCoach Happy https://www.coachappy.com/ See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info. Nb: TheBoldWay ou The Bold Way, anciennement connu sous le nom de Entreprendre dans la mode ou EDLM , est un podcast produit et réalisé par Adrien Garcia. 😇 Mon sponsor du mois Revolut Business – La banque que vous méritez pour gérer vos finances professionnelles ➡ Découvrir Revolut Business Abonnez vous à ma Newsletter ➡ Newsletter TheBoldWay ___________________________________ Dans ce nouvel épisode, nous allons à la rencontre de Jenny Chammas, elle est coach, créatrice du podcast Femmes et Ambitieuses et l’auteure du livre Ambitieuse et épanouie. Dans cet épisode, elle nous parle de sa façon de planifier ses objectifs, de trouver l’équilibre entre ambition et réalité, de se projeter dans l’inconnu, de l’importance de la confiance de soi, de savoir dire non et de ses impacts positifs, et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Jenny, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE 02:25 Jenny se présente et nous explique comment fixer ses objectifs de façon réaliste.12:02 Comment se projeter ou se donner des objectifs dans l’inconnu.25:00 Comment apprendre à voir le verre à moitié plein.32:00 Quelques conseils pour s’organiser et gagner du temps, comment dire non et de la bonne façon, ses impactes, et la gestion de sa boîte mail.47:25 Comment agir massivement, comment bien s’entourer.58:15 Comment organiser un mastermind, quelques conseils pour progresser.KEYLEARNINGSJe planifie à l’avance des moments pendant lesquels je ne fais rien d’autre que de réfléchir à ce que j’ai envie de vivre, de créer, là où j’ai envie d’emmener ma boîte, ma vie aussi. De façon très concrète, je fais ça 4 fois par an. A ce moment-là, je réfléchis à tout ce que j’ai envie de faire, et puis ensuite, je décide de ce qui est le plus important.C’est compliqué de changer plusieurs habitudes en même temps. Ma technique est de choisir et de décider d’un objectif prioritaire pour l’année et de le décliner, de travailler là-dessus. Une fois que je me sens à l’aise, bien lancée, qu’on est peut-être en mars et que je suis sur les rails, il est temps de penser au deuxième objectif.Il ne faut pas se mettre de barrière, de limite et de filtre. A partir du moment où les idées fuses, le cerveau est un ordinateur qui garde tout ce que tu as vécu toute ta vie et à chaque truc super ambitieux, super nouveau que tu vas lui proposer, il va avoir plein d’arguments à te donner pour te dire « En fait c’est un peu compliqué. En un an, tu ne vas pas y arriver. Tu as déjà fait, ça n’a pas marché etc. ». Pour hacker son cerveau, il faut avoir la capacité de reconnaître ce mécanisme-là, c’est un mécanisme qui montre que ton cerveau fonctionne à merveille. On a une partie dans notre cerveau qui est le cerveau reptilien, qui est là pour nous protéger du danger de façon générale. Cette partie-là du cerveau est la même que celle que les hommes préhistoriques avaient, qui permettait de garder de l’énergie, de ne pas faire trop d’effort pour en cas de grand danger, s’enfuir en courant, et éviter qu’un ours nous dévore. Cette partie du cerveau existe toujours et maintenant quand on lui propose un objectif ambitieux, elle scanne ça comme un danger. Notre job à nous c’est de se dire « ce bruit-là, c’est juste mon cerveau reptilien, c’est juste une réaction naturelle, ça montre que mon cerveau fonctionne bien ».Croire en soi et croire aussi en son projet est fondamental pour réussir. Ce n’est pas la validation extérieure qui va faire qu’on va croire en son projet, c’est vraiment quelque chose qui vient de soi. On le voit très bien, c’est assez fascinant quand on écoute les entrepreneurs, je pense à Ramdane Touhami et Nelly Rodi. Pour moi, ce que ces deux personnes fascinantes ont en commun, c’est la confiance qu’elles ont en elles, et en l’amour de ce qu’elles font, en leurs produits ou services, et ça, ça fait une sacrée différence parce que quand on a confiance, cela donne une énergie immense pour avancer donc ça fait soulever des montagnes mais en plus, ça permet de convaincre les gens. On a besoin de convaincre les gens quand on a une marque donc c’est hyper important.La confiance est une émotion. Une émotion nait toujours d’une pensée. Une pensée c’est ce que l’on se dit à l’intérieur de notre tête. Quand on parle de confiance en soi, c’est tout le discours que l’on a dans notre tête au sujet de nous-même : « je suis comme-ci, je ne suis pas assez comme ça… ». Cette émotion-là de confiance en soi n’est pas égale tous les jours, tous les ans, sur tous les projets, sur tous les sujets. Il n’y a pas de gens qui naissent et qui ont confiance en eux et des gens qui naissent sans confiance en eux. Il y a simplement des gens qui, sur certains sujets, sur certains domaines, ont des pensées qui produisent de la confiance en eux et d’autres personnes qui ont des pensées qui produisent peu de confiance. Quand on entreprend, qu’on crée un nouveau projet, une nouvelle marque, on fait quelque chose de totalement nouveau, on n’a pas vraiment de preuve extérieure à nous qui nous montre qu’on devrait avoir confiance en soi et c’est pour ça, qu’assez naturellement quand tu lances un projet, tu ressens du doute. Pour en créer plus, il y a plusieurs choses qui fonctionnent bien : s’appuyer sur son passé. Même quand on n’a jamais créé de marque de mode, il y a plein de choses qu’on a accompli avant. On peut avoir confiance en soi et pour autant, douter un peu. Une aventure entrepreneuriale, même quand on a confiance en soi, n’exclut pas le doute. Le doute fait partie de l’aventure. Là, ce qu’il faut savoir convoquer c’est le courage : se lancer même quand on a peur. C’est ça qui va créer la confiance à posteriori. Tu te lances une fois quand tu as peur, tu te rends compte que soit ça marche, du coup, ça te donne confiance pour la suite, soit ça ne marche pas mais en fait, tu n’es pas mort, ça a juste été un petit mauvais moment un passé et tu rebondis.C’est un art, une compétence à développer de savoir accueillir l’inconfort, et les émotions inconfortables. Cela s’apprend. Ce n’est pas parce qu’on est super stressé, qu’on ne va plus rien faire ou arriver à rien.Pour respecter ses priorités, on doit faire de soi sa priorité. La première personne à qui il faut faire attention pour pouvoir poursuivre ses projets, ses priorités, que ce soit dans le travail mais aussi dans la vie privée, c’est de faire attention à soi. Il y a une technique que je conseille dans la planification c’est de prévoir le temps de repos avant de remplir son agenda. Et même quand on travaille beaucoup, parce que soyons clair, monter une boîte dans le secteur de la mode, la faire marcher, ça demande beaucoup de boulot, il faut avoir envie de bosser, mais ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas se reposer. Ces moments-là, de mon point de vue, sont les premières choses à mettre dans l’agenda puisque sinon ce sont des moments que l’on ne prend jamais et ce qu’on néglige souvent, c’est que ce sont ces moments-là qui sont probablement les plus prolifiques pour générer des idées qui vont ensuite créer de la valeur dans le business.Il faut être authentique et ne pas essayer d’être quelqu’un que l’on n’est pas, ça simplifie toutes les relations, et cela crée de la confiance et cela permet de mieux travailler ensemble.Si on ne sait pas, on a l’humilité de ne pas savoir et d’apprendre sur le terrain et si on n’y arrive pas, on se fait aider. Créer une marque, cela ne se fait pas seul. On peut commencer seul mais très vite, on va avoir besoin de s’entourer et le résultat de l’entreprise ne repose pas sur les épaules d’un seul homme mais repose sur toute une équipe, qu’elle soit interne ou aussi à l’extérieure. C’est cette mayonnaise qui doit prendre pour pouvoir arriver à un résultat. Pour que cette mayonnaise prenne, il faut que le leader, le créateur, l’entrepreneur puisse emmener ces gens avec lui. S’il ne sait pas faire, s’il n’arrive pas à faire, si ce qu’il essaye au fur et à mesure ne fonctionne pas, il faut se faire aider. La question c’est, est-ce qu’on veut vraiment y arriver ou pas, et si on veut y arriver, il faut savoir leader les gens, il faut avoir déléguer, il faut savoir déléguer une partie du leadership si on estime qu’on n’est pas le meilleur des leaders, ce n’est pas un problème en soi, on peut tout à fait réussir sans l’être. Il faut aussi se sortir de la solitude que l’on peut ressentir parfois à être la personne qui emmène tous ces gens-là. Il y a plein de moyens de ne pas être seul, d’apprendre des autres. Je pense notamment au programme Talent de la Fédération Française du Prêt à Porter. Je pense aussi à des initiatives qui peuvent être tout à fait simple mais qui marchent très bien : c’est créer des groupes mastermind, avoir 4-5 personnes dans son giron qui sont aussi entrepreneur et de se réunir une fois par mois et de partager les réussites, les ennuis, de se demander des conseils, de se soutenir. Il faut se fixer des objectifs, il faut savoir combien on veut faire de chiffre d’affaires, quelle rentabilité on veut avoir, tout ça, on doit le savoir. Il faut avoir un objectif, cela ne veut pas dire qu’on va arriver exactement à cet objectif mais en tout cas, il faut avoir fait ce travail, pas forcément dans le détail, mais en tout cas, ce travail mental.Il faut savoir se vendre quand on ne sait pas se vendre, il faut apprendre à le faire et donc travailler sa confiance en soi. Quand on est entrepreneur, on est son plus grand ascète. Notre cerveau est notre meilleur ascète et il faut savoir investir en lui, il faut apprendre, ce qu’on ne sait pas, on l’apprend. Il faut se faire coacher, il faut médier, faire du sport. Il faut prendre de soi et de son cerveau. REFERENCESPodcast Femmes et Ambitieuses https://www.coachappy.com/podcasts/Ambitieuse et épanouie https://www.coachappy.com/le-livre/Episode William Hauvette – Asphalte https://podcloud.fr/podcast/entreprendre-dans-la-mode/episode/number-53-william-hauvette-asphalte-parisEpisode Ramdane Touhami https://podcasts.apple.com/be/podcast/50-ramdane-touhami-officine-universelle-buly/id1300541489?i=1000420876179Episode Nelly Rodi https://podcasts.apple.com/fr/podcast/129-nelly-rodi-nellyrodi-une-vie-au-service-la-mode/id1300541489?i=1000459829976Ryan Holidays - L’obstacle est le chemin https://livre.fnac.com/a11104035/Ryan-Holiday-L-obstacle-est-le-cheminHuman Machine – Jean de La Rochebrochard https://livre.fnac.com/a13987282/Jean-de-La-Rochebrochard-Human-MachineAtomic Habits (Un rien peut tout changer) – James Clear https://livre.fnac.com/a13259231/James-Clear-Un-rien-peut-tout-changer?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla366875966876%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=CjwKCAiAjrXxBRAPEiwAiM3DQhB4e8vBlRuF91Kj89eMSbWaf4tKq2EsPeb3tAq2IHr6W43iOvDJGxoC6dwQAvD_BwE&gclsrc=aw.dsCoach Happy https://www.coachappy.com/ See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info. Nb: TheBoldWay ou The Bold Way, anciennement connu sous le nom de Entreprendre dans la mode ou EDLM , est un podcast produit et réalisé par Adrien Garcia.
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